UN CHATON ARRIVE A LA MAISON !
Vous venez d’adopter un nouveau chaton. Voici les principaux conseils que vous recommande votre vétérinaire. Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous poser vos questions.
1 – LES SOINS VETERINAIRES
– Les vaccins sont à faire dès l’âge de 8 semaines avec 2 primovaccinations à 1 mois d’intervalle puis un rappel annuel (vous recevrez un courrier de rappel chaque année) :
-> « classiques » : typhus, coryza
-> « complémentaires » : leucose, rage
– L’identification électronique est obligatoire depuis la loi du 1er Janvier 2012. Elle permettra d’attester l’identité de votre chatte, ainsi que celle de son propriétaire, notamment si vous la perdez. Elle peut être réalisée au cours d’une consultation ou pendant la stérilisation.
– La stérilisation est conseillée et se pratique à partir de l’âge de 5 mois. Elle permet d’éviter le marquage urinaire, les chaleurs, les infections de l’utérus et les risques d’apparition de tumeurs mammaires si elle est pratiquée avant les 2 premières chaleurs. Votre vétérinaire traitant vous conseillera à ce sujet.
– La lutte contre les tiques et les puces doit être pratiquée toute l’année: il n’y a pas de saison! Nous vous aiderons à choisir le produit le plus adapté à votre chatte entre les pipettes, les colliers et les comprimés. Pour vous aider à ne pas oublier son antiparasitaire, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de traiter votre petit compagnon le moment venu.
– Les vermifuges sont à administrer tous les mois jusqu’à l’âge de 6 mois puis de 2 à 4 fois par an en fonction du mode de vie (chasseur, grand territoire,…) et des facteurs de risque : la présence d’enfants ou d’individus dont l’immunité est déficiente justifie de la vermifuger très régulièrement afin de les protéger! Pour vous aider à ne pas oublier son vermifuge, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de vermifuger le moment venu.
– La courbe de poids: une pesée par semaine le 1er mois chez vous ou à la clinique, puis tous les mois jusqu’à la fin de la croissance (environ 12 mois), est idéale.
– En cas de stress, car le chat est un animal très sensible, vous pouvez utiliser un diffuseur de phéromones, notamment lorsque plusieurs chats habitent ensemble
2 – L’HYGIENE
– Les brossages, réguliers, et en douceur, doivent être quotidiens en période de changement de poils (mue). Il est possible de faire des shampooings si elle est habituée dès son plus jeune âge, principalement pour les chats à poils longs.
– Le soin des griffes: il convient de les couper si elles sont trop longues, notamment sur les chats d’intérieurs afin déviter qu’elle ne fasse trop de dégâts sur le mobilier.
– Le nettoyage des yeux et des oreilles sera à envisager sur recommandation de votre vétérinaire traitant, avec des nettoyants spécifiques vétérinaires.
– L’hygiène buccodentaire est fondée sur le brossage quotidien des dents. Il existe également des poudres alimentaires et des solutions buvables.
3 – L’ALIMENTATION
– Les croquettes: pratiques et peu chères, elles sont idéales si de bonne qualité ( Virbac, Specific, Royal Canin,…). Notre gamme vétérinaire vous offre une garantie de qualité pour un coût modéré. Les aliments humides (type « boîte ») coûtent plus cher, mais ils peuvent être un bon aliment si ils sont de bonne qualité.
– Les repas: En règle générale, le chat grignote: il fait de nombreux petits repas au cours de la journée.
-> 1 chat sur 2 arrive à se réguler. Si c’est le cas, vous pouvez lui laisser les croquettes « à volonté » avec sa gamelle constamment remplie. Il faut tout de même veiller à ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
-> 1 chat sur 2 n’arrive pas à se réguler. Si c’est le cas, il faut la rationner en lui donnant sa dose journalière recommandée en plusieurs petits repas au cours de la journée.
– Les compléments en vitamines et minéraux (calcium) sont à adapter aux besoins de votre animal, et ne sont indispensables qu’en cas de ration ménagère. Quant à l’herbe à chat, elle n’est pas nécessaire car les croquettes de bonne qualité contiennent suffisamment de fibres.
4 – L’ENVIRONNEMENT ET L’EDUCATION
– La litière: généralement, les chats sont propres très rapidement. Il est conseillé de mettre 1 litière de plus que le nombre de chats et de veiller à ce que les litières soient toujours propres. Si elle n’utilise plus sa litière, c’est souvent le signe d’un problème.
– Le lieu de couchage: prévoir plusieurs petits endroits (coussins) de préférence en hauteur où elle pourra se reposer, parfois intégré à l’arbre à chat. Offrez lui un arbre à chat dès que possible: il faut qu’il soit installé dans un endroit visible.
– Les jeux: les chatons adorent jouer. Il faut enrichir au maximum l’environnement.
– La laisser seul: il n’y a pas de soucis: le chat est un animal solitaire, très attaché à son territoire. La plupart des chats préfèrent rester chez eux si vous partez quelques jours.
– La socialisation: n’hésitez pas à la manipuler dans tous les sens pour l’habituer au contact. Faites lui rencontrer d’autres animaux, des enfants, votre famille, vos amis…
– L’apprentissage: le chat n’obéit pas à un maître. Par contre, si elle fait quelque chose d’interdit, il faut lui faire peur à distance (objet bruyant, désodorisant, pistolet à eau,…).
– Le sevrage: un chat séparé de sa mère avant l’âge de 2 mois peut présenter des troubles comportementaux.
L’équipe Vetonimo vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre nouveau compagnon!
UN CHATON ARRIVE A LA MAISON !
Vous venez d’adopter un nouveau chaton. Voici les principaux conseils que vous recommande votre vétérinaire. Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous poser vos questions.
1 – LES SOINS VETERINAIRES
– Les vaccins sont à faire dès l’âge de 8 semaines avec 2 primovaccinations à 1 mois d’intervalle puis un rappel annuel (vous recevrez un courrier de rappel chaque année) :
-> « classiques » : typhus, coryza
-> « complémentaires » : leucose, rage
– L’identification électronique est obligatoire depuis la loi du 1er Janvier 2012. Elle permettra d’attester l’identité de votre chat, ainsi que celle de son propriétaire, notamment si vous le perdez. Elle peut être réalisée au cours d’une consultation ou pendant la castration.
– la castration est conseillée et se pratique à partir de l’âge de 5 mois. Elle permet d’éviter le marquage urinaire, les « bagarres » avec les autres chats et les fugues, ainsi que les modifications anatomiques liées aux hormones. Votre vétérinaire traitant vous donnera conseil à ce sujet.
– La lutte contre les tiques et les puces doit être pratiquée toute l’année: il n’y a pas de saison! Nous vous aiderons à choisir le produit le plus adapté à votre chat entre les pipettes, les colliers et les comprimés. Pour vous aider à ne pas oublier son antiparasitaire, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de traiter votre petit compagnon le moment venu.
– Les vermifuges sont à administrer tous les mois jusqu’à l’âge de 6 mois puis de 2 à 4 fois par an en fonction du mode de vie (chasseur, grand territoire,…) et des facteurs de risque : la présence d’enfants ou d’individus dont l’immunité est déficiente justifie de le vermifuger très régulièrement afin de les protéger! Pour vous aider à ne pas oublier son vermifuge, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de vermifuger le moment venu.
– La courbe de poids : une pesée par semaine le 1er mois chez vous ou à la clinique, puis tous les mois jusqu’à la fin de la croissance (environ 12 mois), est idéale.
– En cas de stress, car le chat est un animal très sensible, vous pouvez utiliser un diffuseur de phéromones, notamment lorsque plusieurs chats habitent ensemble.
2 – L’HYGIENE
– Les brossages, réguliers, et en douceur, doivent être quotidiens en période de changement de poils (mue). Il est possible de faire des shampooings si il est habitué dès son plus jeune âge, principalement pour les chats à poils longs.
– Le soin des griffes: il convient de les couper si elles sont trop longues, notamment sur les chats d’intérieurs afin déviter qu’il ne fasse trop de dégâts sur le mobilier.
– Le nettoyage des yeux et des oreilles sera à envisager sur recommandation de votre vétérinaire traitant, avec des nettoyants spécifiques vétérinaires.
– L’hygiène buccodentaire est fondée sur le brossage quotidien des dents. Il existe également des poudres alimentaires et des solutions buvables.
3- L’ALIMENTATION
– Les croquettes: pratiques et peu chères, elles sont idéales si de bonne qualité ( Virbac, Specific, Royal Canin,…). Notre gamme vétérinaire vous offre une garantie de qualité pour un coût modéré. Les aliments humides (type « boîte ») coûtent plus cher, mais ils peuvent être un bon aliment si ils sont de bonne qualité.
– Les repas: En règle générale, le chat grignote: il fait de nombreux petits repas au cours de la journée.
– 1 chat sur 2 arrive à se réguler. Si c’est le cas, vous pouvez lui laisser les croquettes « à volonté » avec sa gamelle constamment remplie. Il faut tout de même veiller à ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
– 1 chat sur 2 n’arrive pas à se réguler. Si c’est le cas, il faut le rationner en lui donnant sa dose journalière recommandée en plusieurs petits repas au cours de la journée.
– Les compléments en vitamines et minéraux (calcium) sont à adapter aux besoins de votre animal, et ne sont indispensables qu’en cas de ration ménagère. Quant à l’herbe à chat, elle n’est pas nécessaire car les croquettes de bonne qualité contiennent suffisamment de fibres.
4- L’ENVIRONNEMENT ET L’EDUCATION
– La litière: généralement, les chats sont propres très rapidement. Il est conseillé de mettre 1 litière de plus que le nombre de chats et de veiller à ce que les litières soient toujours propres. Si il n’utilise plus sa litière, c’est souvent le signe d’un problème.
– Le lieu de couchage : prévoir plusieurs petits endroits (coussins) de préférence en hauteur où il pourra se reposer, parfois intégré à l’arbre à chat. Offrez lui un arbre à chat dès que possible: il faut qu’il soit installé dans un endroit visible.
– Les jeux : les chatons adorent jouer. Il faut enrichir au maximum l’environnement.
– Le laisser seul : il n’y a pas de soucis: le chat est un animal solitaire, très attaché à son territoire. La plupart des chats préfèrent rester chez eux si vous partez quelques jours.
– La socialisation: n’hésitez pas à le manipuler dans tous les sens pour l’habituer au contact. Faites lui rencontrer d’autres animaux, des enfants, votre famille, vos amis…
– L’apprentissage: le chat n’obéit pas à un maître. Par contre, si il fait quelque chose d’interdit, il faut lui faire peur à distance (objet bruyant, désodorisant, pistolet à eau,…).
– Le sevrage : un chat séparé de sa mère avant l’âge de 2 mois peut présenter des troubles comportementaux.
L’équipe Vetonimo vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre nouveau compagnon!
UN CHIOT ARRIVE A LA MAISON !
Vous venez d’adopter un nouveau chiot. Voici les principaux conseils que vous recommande votre vétérinaire. Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous poser vos questions.
1- LES SOINS VETERINAIRES
– Les vaccins sont à faire dès l’âge de 8 semaines avec 2 ou 3 primovaccinations à 1 mois d’intervalle puis un rappel annuel (vous recevrez un courrier de rappel chaque année) :
-> « classiques » : carré, hépatite, parvovirose, leptospirose et rage.
-> « complémentaires » : piroplasmose, maladie de Lyme, toux de chenil et Leishmaniose.
– L’identification électronique est obligatoire depuis la loi du 6 Janvier 1999. Elle permettra d’attester l’identité de votre chienne, ainsi que celle de son propriétaire, notamment si vous la perdez. Elle peut être réalisée au cours d’une consultation vaccinale.
– La stérilisation est conseillée et se pratique à partir de l’âge de 5 mois. Elle permet d’éviter les chaleurs et prévient l’apparition d’infection de l’utérus et de tumeurs mammaires si elle est réalisée avant les 2 premières chaleurs. Votre vétérinaire traitant vous donnera conseil à ce sujet, notamment au moment de la consultation pubertaire.
– La lutte contre les tiques et les puces doit être pratiquée toute l’année: il n’y a pas de saison! Nous vous aiderons à choisir le produit le plus adapté à votre chiot entre les pipettes, les colliers et les comprimés. Pour vous aider à ne pas oublier son antiparasitaire, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de traiter votre petit compagnon le moment venu.
– Les vermifuges sont à administrer tous les mois jusqu’à l’âge de 6 mois puis de 2 à 4 fois par an en fonction des facteurs de risque : la présence d’enfants ou d’individus dont l’immunité est précaire à la maison justifie de vermifuger souvent pour les protéger ! Pour vous aider à ne pas oublier son vermifuge, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous envoyer des SMS ou des mails au moment du vermifuge.
– La courbe de poids : une pesée par semaine le 1er mois chez vous ou à la clinique, puis tous les mois jusqu’à la fin de la croissance (10 mois à 18 mois selon les races), est idéale.
– La consultation pubertaire est conseillée à l’âge de 6 mois. A cette occasion, nous pourrons vérifier ensemble sa bonne santé (examen générale, cardio-vasculaire, courbe de poids,…), refaire le point sur l’hygiène de votre chien et surtout le comportement au moment de la puberté.
2- L’HYGIENE
– Les brossages, réguliers, et en douceur, doivent être quotidiens en période de changement de poils (mue).
– Le shampooing ne doit pas être fait plus d’une fois par mois en entretien, et adapté au type de pelage ou aux peaux sensibles.
– Le soin des griffes, surtout les ergots, qu’il convient de couper si elles sont trop longues.
– Le nettoyage des yeux et des oreilles sera à envisager sur recommandation de votre vétérinaire traitant, avec des nettoyants spécifiques vétérinaires.
– L’hygiène buccodentaire est fondée sur le brossage quotidien des dents. Il existe également des lamelles ou des barres à mâcher, ainsi que des solutions buvables.
3- L’ALIMENTATION
– Les croquettes: pratiques et peu chères, elles sont idéales si de bonne qualité ( Virbac, Specific, Royal Canin,…). Notre gamme vétérinaire vous offre une garantie de qualité pour un coût modéré. Les aliments humides (type « boîte ») coûtent plus cher, mais ils peuvent être un bon aliment si ils sont de bonne qualité.
– Les repas : vous mangez d’abord, et votre chienne ensuite. Laissez lui la gamelle 15 minutes puis retirez la. L’alimentation en self-service n’est pas une bonne habitude ! Au départ, faites-lui 3 repas par jour, 2 repas au minimum. A l’âge de 6 mois, passez à 2 repas par jour.
– Les restes de table sont à éviter car ils peuvent être à l’origine d’allergie alimentaire et d’obésite. Il est interdit de donner des os aux chiens: c’est toujours dangeureux!
– La ration ménagère: il est également possible de le nourrir avec une ration ménagère, n’hésitez pas à nous demander conseil. Les compléments en vitamines et minéraux (calcium) sont à adapter aux besoins de votre animal, et ne sont indispensables qu’en cas de ration ménagère.
4- L’EDUCATION
– Le mordillement: c’est le premier réflexe qu’elle doit perdre. Dès qu’elle pose les dents sur une partie de votre corps, il faut la disputer (« NON » sec et grave) et l’ignorer le temps qu’elle se calme car c’est souvent pendant un moment d’excitation.
– La propreté : sortez la systématiquement après les repas, au réveil de sa nuit et de ses siestes, le plus tôt possible le matin et le plus tard possible le soir. Félicitez la et récompensez la quand elle fait ses besoins dehors. Continuez de la promener 5 minutes au moins après. Si elle fait ses besoins à l’intérieur, disputez la uniquement si vous la prenez sur le fait. Changez la de pièce quand vous nettoyez.
– Le panier ne doit pas être dans le couloir, ni à côté de la porte d’entrée. Le coin salon ou cuisine est idéal. ATTENTION, elle ne doit pas dormir dans une chambre.
– Les jeux:
-> les jouets en peau de bœuf ou en plastique très résistant (KONG™ par exemple) sont à privilégier.
-> vous décidez du moment du début et de la fin des jeux.
-> ne l’excitez pas sans cesse : pas de jeu de tiraillement.
– La laisser seul : il convient de l’habituer le plus tôt possible, progressivement et régulièrement, sans lui parler au moment de la laisser seul (au risque de l’angoisser) et sans faire une fête à votre retour. Cet évènement doit être normal.
– La socialisation: se fait surtout entre 2 et 4 mois. Faites-lui rencontrer d’autres chiens, des chats, des enfants, votre famille, vos amis,…. N’hésitez pas à la promener dehors en laisse. Ne l’ayez pas dans les bras continuellement, et surtout pas lorsqu’elle est effrayée !
– L’apprentissage doit être sous forme de jeux et de récompenses. Apprenez-lui son nom puis habituez-la à des ordres simples : assis, couché…..
L’équipe Vetonimo vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre nouveau compagnon!
UN CHIOT ARRIVE A LA MAISON !
Vous venez d’adopter un nouveau chiot. Voici les principaux conseils que vous recommande votre vétérinaire. Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous poser vos questions.
1- LES SOINS VETERINAIRES
– Les vaccins sont à faire dès l’âge de 8 semaines avec 2 ou 3 primovaccinations à 1 mois d’intervalle puis un rappel annuel (vous recevrez un courrier de rappel chaque année) :
-> « classiques » : carré, hépatite, parvovirose, leptospirose et rage.
-> « complémentaires » : piroplasmose, maladie de Lyme, toux de chenil et Leishmaniose.
– L’identification électronique est obligatoire depuis la loi du 6 Janvier 1999. Elle permettra d’attester l’identité de votre chien, ainsi que celle de son propriétaire, notamment si vous le perdez. Elle peut être réalisée au cours d’une consultation vaccinale.
– La castration n’est pas systématique, seules quelques indications notamment comportementales la justifient. Votre vétérinaire traitant vous donnera conseil à ce sujet, notamment au moment de la consultation pubertaire.
– La lutte contre les tiques et les puces doit être pratiquée toute l’année: il n’y a pas de saison! Nous vous aiderons à choisir le produit le plus adapté à votre chiot entre les pipettes, les colliers et les comprimés. Pour vous aider à ne pas oublier son antiparasitaire, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de traiter votre petit compagnon le moment venu.
– Les vermifuges sont à administrer tous les mois jusqu’à l’âge de 6 mois puis de 2 à 4 fois par an en fonction des facteurs de risque : la présence d’enfants ou d’individus dont l’immunité est précaire à la maison justifie de vermifuger souvent pour les protéger ! Pour vous aider à ne pas oublier son vermifuge, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous envoyer des SMS ou des mails au moment du vermifuge.
– La courbe de poids : une pesée par semaine le 1er mois chez vous ou à la clinique, puis tous les mois jusqu’à la fin de la croissance (10 mois à 18 mois selon les races), est idéale.
– La consultation pubertaire est conseillée à l’âge de 6 mois. A cette occasion, nous pourrons vérifier ensemble sa bonne santé (examen générale, cardio-vasculaire, courbe de poids,…), refaire le point sur l’hygiène de votre chien et surtout le comportement au moment de la puberté.
2- L’HYGIENE
– Les brossages, réguliers, et en douceur, doivent être quotidiens en période de changement de poils (mue).
– Le shampooing ne doit pas être fait plus d’une fois par mois en entretien, et adapté au type de pelage ou aux peaux sensibles.
– Le soin des griffes, surtout les ergots, qu’il convient de couper si elles sont trop longues.
– Le nettoyage des yeux et des oreilles sera à envisager sur recommandation de votre vétérinaire traitant, avec des nettoyants spécifiques vétérinaires.
– L’hygiène buccodentaire est fondée sur le brossage quotidien des dents. Il existe également des lamelles ou des barres à mâcher, ainsi que des solutions buvables.
3- L’ALIMENTATION
– Les croquettes: pratiques et peu chères, elles sont idéales si de bonne qualité ( Virbac, Specific, Royal Canin,…). Notre gamme vétérinaire vous offre une garantie de qualité pour un coût modéré. Les aliments humides (type « boîte ») coûtent plus cher, mais ils peuvent être un bon aliment si ils sont de bonne qualité.
– Les repas : vous mangez d’abord, et votre chiot ensuite. Laissez lui la gamelle 15 minutes puis retirez la. L’alimentation en self-service n’est pas une bonne habitude ! Au départ, faites-lui 3 repas par jour, 2 repas au minimum. A l’âge de 6 mois, passez à 2 repas par jour.
– Les restes de table sont à éviter car ils peuvent être à l’origine d’allergie alimentaire et d’obésite. Il est interdit de donner des os aux chiens: c’est toujours dangeureux!
– La ration ménagère: il est également possible de le nourrir avec une ration ménagère, n’hésitez pas à nous demander conseil. Les compléments en vitamines et minéraux (calcium) sont à adapter aux besoins de votre animal, et ne sont indispensables qu’en cas de ration ménagère.
4. L’EDUCATION
– Le mordillement: c’est le premier réflexe qu’il doit perdre. Dès qu’il pose les dents sur une partie de votre corps, il faut le disputer (« NON » sec et grave) et l’ignorer le temps qu’il se calme car c’est souvent pendant un moment d’excitation.
– La propreté: Sortez le systématiquement après les repas, au réveil de sa nuit et de ses siestes, le plus tôt possible le matin et le plus tard possible le soir. Félicitez le et récompensez le quand il fait ses besoins dehors. Continuez de le promener 5 minutes au moins après. Si il fait ses besoins à l’intérieur, disputez le uniquement si vous le prenez sur le fait. Changez le de pièce quand vous nettoyez.
– Le panier ne doit pas être dans le couloir, ni à côté de la porte d’entrée. Le coin salon ou cuisine est idéal. ATTENTION, votre chiot ne doit pas dormir dans une chambre.
– Les jeux:
-> les jouets en peau de bœuf ou en plastique très résistant (KONG™ par exemple) sont à privilégier.
-> vous décidez du moment du début et de la fin des jeux.
-> ne l’excitez pas sans cesse : pas de jeu de tiraillement.
– Le laisser seul : il convient de l’habituer le plus tôt possible, progressivement et régulièrement, sans lui parler au moment de le laisser seul (au risque de l’angoisser) et sans faire une fête à votre retour. Cet évènement doit être normal.
– La socialisation: se fait surtout entre 2 et 4 mois. Faites-lui rencontrer d’autres chiens, des chats, des enfants, votre famille, vos amis,…. N’hésitez pas à le promener dehors en laisse. Ne l’ayez pas dans les bras continuellement, et surtout pas lorsqu’il est effrayé !
– L’apprentissage doit être sous forme de jeux et de récompenses. Apprenez-lui son nom puis habituez-le à des ordres simples : assis, couché…..
L’équipe Vetonimo vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre nouveau compagnon!
UN LAPIN ARRIVE A LA MAISON !
Vous venez d’adopter un nouveau lapin. Voici les principaux conseils que vous recommande votre vétérinaire. Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous poser vos questions.
1- LES SOINS VETERINAIRES
– Les vaccins Myxomatose et VHD sont recommandés dès l’âge de 5 semaines, une seule injection est efficace pour une année de protection (Vous recevrez ensuite un courrier de rappel chaque année). Ces maladies sont transmises par le biais des moustiques ou encore de végétaux ramenés de l’extérieur pour nourrir votre lapin.
– L’identification par puce électronique est recommandée. Elle est obligatoire si l’on veut voyager avec son animal dans l’Union Européenne.
– La stérilisation (castration ou ovario-hystérectomie) précoce vers 6 mois permet d’éviter l’apparition de la plupart des comportements indésirables liés à la reproduction et à la défense du territoire. Pour les lapines, elle permet également de prévenir les pathologies utérines, extrêmement fréquentes (plus de 80%) et graves.
– Traitement contre les parasites: votre vétérinaire traitant vous conseillera sur le produit et la fréquence d’utilisation (généralement 2 fois par an). Pour vous aider à ne pas oublier son antiparasitaire, nous avons mis en place VETOMEMO: un outil gratuit qui permet de vous rappeler par SMS ou mail de traiter $NOM_PATIENT$ le moment venu.
– Etant à l’état naturel une proie le lapin a tendance à masquer ses faiblesses et ne pas montrer facilement qu’il ne va pas bien en cas de maladie.
Les principaux signes qui doivent vous alerter sont :
– Un changement de poids : une pesée régulière (1 fois par mois minimum) est importante pour contrôler la croissance et détecter précocement d’éventuelles pathologies.
– Une baisse voire un arrêt de l’alimentation (parfois uniquement sélective : « mon lapin ne mange plus son foin mais les granulés ça va» ce n’est pas normal),
– Un ralentissement voire un arrêt de transit : moins ou pas du tout de selles, aspect différent (diarrhée…)
– Un changement dans son comportement.
Transport: pour amener votre lapin à la clinique nous vous conseillons de l’amener dans une caisse de transport (celles pour chat conviennent bien) avec au fond une serviette éponge et une poignée de foin.
2- L’HYGIENE
– Les brossages, réguliers, et en douceur, doivent être quotidiens en période de changement de poils (mue) et plus particulièrement pour les lapins Angora.
– Le soin des griffes: il convient de les couper si elles sont trop longues, habituellement tous les 3 à 4 mois.
– Le nettoyage des yeux et des oreilles sera à envisager sur recommandation de votre vétérinaire traitant, avec des nettoyants spécifiques vétérinaires (oreilles des lapins bélier).
– Les dents sont à surveiller régulièrement du fait de leur croissance continue. Vous ne pourrez voir que les incisives mais votre vétérinaire traitant pourra contrôler l’état de ses prémolaires et molaires. Si votre lapin, mange moins, bave beaucoup (poils collé sur le menton), a les yeux qui coulent ; cela peut être le signe d’un problème dentaire.
3- L’ALIMENTATION ET L’ABREUVEMENT
– Le foin doit être son aliment de base : il stimule le transit, prévient les problèmes dentaires en permettant l’usure naturelle des dents. Le foin n’est pas une litière, il doit être gardé propre idéalement dans un râtelier et distribué à volonté.
– Les granulés ne sont absolument pas indispensables. Ils peuvent être distribués dans des limites raisonnables : maximum 20 g/kg/j. Il faut proscrire tous les mélanges de graines. Votre vétérinaire vous conseillera des granulés de qualité, par exemple de la marque Selective.
– Les légumes frais, lavés, séchés sont distribués en quantité raisonnable (environ 30-40g/kg de lapin/jour) et introduits de manière progressive.
– Les friandises sucrées ou à base de produits laitiers sont à proscrire.
– Les pierres à ronger ne sont pas adaptées aux besoins des lapins (apport de minéraux excessif).
– L’eau doit être toujours à disposition, de préférence dans un ramequin (plutôt lourd pour éviter qu’il ne soit renversé trop facilement). Evitez les biberons. Un lapin qui ne boit pas assez sera plus sensible aux problèmes de calculs urinaires, à l’insuffisance rénale et aux impactions digestives.
4- L’ENVIRONNEMENT ET L’EDUCATION
– Le lapin est actif en captivité principalement en début et en fin de journée. Il peut toutefois s’adapter en fonction de votre rythme de vie.
– Votre lapin pour s’épanouir a besoin de distraction et d’espace.
– L’idéal est un mode de vie en semi-liberté (plusieurs heures de sortie par jour) voire à un accès en permanence à un environnement sécurisé (pour éviter les risques d’électrocution, chutes, intoxications…), avec un accès libre à la cage. Il est également possible de l’installer dans un enclos intérieur aménagé.
– Si vous en avez la possibilité, vous pouvez le mettre dans votre jardin, idéalement sous surveillance soit dans un enclos soit en laisse avec un harnais adapté. Attention à ce qu’il ne mange pas trop de verdure s’il n’y est pas habitué.
– La cage d’au moins 120 x 60 cm et 50 cm de hauteur doit comporter un bac à litière pour les besoins (granulés ou litière pour chat) disposé à l’opposé du coin alimentation, des cachettes et des promontoires. Le sol de la cage devra être suffisamment moelleux pour ne pas irriter ses pattes (Chanvre, copeaux, petits éclats de bois ou bien serviette-Drybed)
– Le lapin est un animal très sociable mais la cohabitation tardive entre 2 animaux peut s’avérer délicate. L’idéal est de faire cohabiter un couple de lapins stérilisés. La cohabitation avec d’autres espèces est possible (avec des précautions !) avec un chien ou un chat mais reste impossible avec un furet. Elle est envisageable avec un cochon d’Inde mais déconseillée (risque de transmission de bordetellose).
– Des jouets, des jeux de casse-tête, des arbres à chat adaptés, des maisons en carton ou des tunnels en foin à grignoter permettent de divertir le lapin. La distribution de nourriture a également une place prépondérante dans l’enrichissement du milieu.
L’équipe Vetonimo vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre nouveau compagnon!
LA REPRODUCTION CHEZ LA CHIENNE
Vous envisagez de faire faire une portée à votre chienne. C’est une décision qui se prend en toute connaissance de cause. Des questions préalables méritent d’être posées, il en va de la santé des futurs chiots, mais aussi celle de votre chienne.
1- LA PREPARATION
– L’élevage des chiots, qu’il soit fait de façon professionnelle ou amateur, est quelque chose de difficile, qui demande certaines connaissances de base indispensables. La première étape est le choix d’un reproducteur :
– Si votre chienne a un pedigree (c’est-à-dire confirmée après avoir été inscrite au LOF), vous pourrez produire des chiens de race.
-> Si elle n’a pas de pedigree mais qu’elle est inscrite au LOF, il faudra tout d’abord prendre contact avec le club de race de votre chienne afin de la faire confirmer par un juge expert.
-> Le mâle devra également avoir un pedigree de la même race.
-> Enfin, une déclaration de saillie devra être rempli et signé au moment de l’accouplement par les propriétaires des deux chiens. Elle devra être envoyé dans les 8 semaines suivantes à la Société Centrale Canine. Une déclaration de naissance doit également être envoyé à la Société Centrale Canine dans les 2 semaines suivant la mise bas. Seulement ainsi, les chiots pourront être reconnus et inscrits au LOF (certificat de naissance). Plus de renseignement sur le site: http://www.scc.asso.fr/.
– Si votre chienne n’est pas de race, ou si vous ne voulez pas spécialement obtenir des chiots de race, vous pouvez choisir le mâle qui vous plaît (dans les limites du raisonnable au niveau de la différence de taille, pour la commodité de la saillie et les problèmes potentiels de mise-bas).
2- LES CHALEURS
– C’est la période propice à la reproduction. Les premières chaleurs, c’est-à-dire la puberté, surviennent vers l’âge de 6 à 7 mois chez les chiennes de petit format, et jusqu’à 18 mois pour les chiennes de race géante. Les chiennes sont en chaleur environ deux fois par an.
– Certaines races, comme le Basenji, ne présentent qu’une période de chaleur annuelle, alors que d’autres peuvent en présenter trois. Les périodes de chaleur surviennent généralement vers le printemps et l’automne, bien que les chiennes puissent entrer en chaleur à n’importe quelle période de l’année.
– La période de chaleur correspond à 2 étapes physiologiques bien distinctes :
-> Etape 1 : Le pro-œstrus: C’est la période durant laquelle la vulve est gonflée et on observe des pertes de sang. La chienne attire déjà les mâles, mais refuse généralement la saillie. Cette période dure en moyenne neuf jours, mais est très variable d’une chienne à l’autre (entre 2 et 25 jours).
-> Etape 2 : L’œstrus: C’est la vraie période de chaleurs qui dure 3 à 21 jours environ (9 jours en moyenne). Durant cette phase, la chienne accepte le mâle. L’ovulation survient environ 2 jours après le début de l’œstrus. Certaines chiennes continuent à avoir des pertes durant cette période. Ces explications mettent en évidence la grande variabilité des durées de chaleurs chez la chienne, accentuée par des réactions comportementales (acceptation du mâle, chevauchement) très variables d’un individu à l’autre. C’est pourquoi il est parfois difficile de définir exactement le moment opportun pour la saillie.
3- LA SAILLIE
– Une fois le mâle choisi, il convient de déterminer le moment propice de l’accouplement. On ne peut pas laisser les deux chiens ensemble en permanence sous peine d’épuiser le mâle ou de risquer qu’il se blesse (fracture du pénis suite à des tentatives de saillies brutales, le pénis du chien contient en effet un os).
-> Si le mâle est très disponible, on pourra les laisser ensemble entre le 11ème et le 13ème jour après le début des chaleurs. La saillie doit en effet se faire environ 48 heures après l’ovulation. Cette période correspond à la date moyenne idéale des chiennes. Toutefois, comme on l’a vu ci-dessus, il existe de grandes variations et le fait que la chienne accepte la saillie n’est pas forcément un signe de réussite.
-> L’idéal est donc de faire suivre les chaleurs de votre chienne par votre vétérinaire, surtout si vous n’avez pas la possibilité de faire plusieurs saillies (si le mâle est loin) et si cette saillie vous coûte cher. Le suivi consiste à faire des frottis vaginaux et des dosages hormonaux (de progestérone), afin de connaître précisément le moment de l’ovulation.
– En ce qui concerne la saillie, il est toujours préférable de déplacer la femelle plutôt que le mâle, afin que ce dernier soit en pleine possession de ses moyens et soit sur son territoire.
-> L’accouplement se déroule après une période de parade plus ou moins longue (mais généralement courte : le chien se contente de renifler la vulve de la femelle). Le chien chevauche la femelle, la pénètre, et commence à faire des mouvements de va-et-vient (10 à 20). Puis, il passe une patte au dessus du dos de la chienne et se retourne : les chiens sont alors « collés » fesses contre fesses. C’est à ce moment que des mâles peu expérimentés peuvent se blesser (fracture du pénis) : faux mouvement, femelle qui cherche à s’asseoir. Il est important par ailleurs de ne pas intervenir pendant cette phase sous peine de blesser les animaux.
-> L’accouplement dure généralement une vingtaine de minutes. Mais certains chiens sont plus rapides, sans que cela n’influe sur leur performance de reproducteur. Après la saillie, une petite quantité de liquide peut couler de la vulve de la femelle.
4- LA GESTATION
– La gestation chez la chienne dure de 56 à 70 jours après la saillie avec une moyenne de 63 jours.
– Devant la demande croissante d’énergie due à la gestation, puis à la lactation, il convient de mettre votre chienne dès la saillie sous une alimentation riche. N’hésitez pas à nous demander des conseils sur son alimentation.
– Une échographie de contrôle permet de confirmer que la saillie a bien été fécondante et que votre chienne est gestante. Celle ci peut être faite à partir de la 3ième semaine suivant la saillie.
– Une radiographie permet de compter le nombre de chiots afin d’anticiper d’éventuels problèmes à la mise bas (Est ce qu’il reste un chiot? Pourquoi la chienne continue de pousser?…). Celle ci peut être faite à partir du 45ième jours suivant la saillie.
– Pour la mise bas, un document décrivant les informations à connaître peut également vous être fourni.
RAPPEL:
– La vaccination est primordiale pour une chienne qui va faire de la reproduction. Elle permet d’éviter d’éventuelles contaminations par le mâle et, surtout, la protection vaccinale est transmise aux chiots pendant les premières semaines de lactation. Ils sont ainsi protégés en attendant leur primo vaccination vers l’âge de 8 semaines.
– N’oubliez pas également de vermifuger votre chienne afin qu’elle ne transmette pas de vers aux chiots. C’est à faire à la saillie, 1 semaine avant et une semaine après la mise bas. En ce qui concerne les chiots, le vermifuge est à faire tous les 15 jours jusqu’à l’âge de 2 mois.
SURVEILLANCE DE LA MISE BAS CHEZ LA CHIENNE
La clinique vétérinaire vous apporte ces informations afin de vous donner quelques notions pour vous permettre de prévoir et de surveiller au mieux la mise bas de votre chienne.
1- La gestation:
– La gestation chez la chienne dure en général 62 à 64 jours. On peut savoir dès 3 semaines après la saillie si votre chienne est gestante en réalisant une échographie abdominale.
– Pour connaitre le nombre de chiots, ce qui est un point important pour surveiller la mise bas, l’idéal est de réaliser une radiographie de l’abdomen environ 1 semaine avant la mise bas.
2- Comment savoir quand ma chienne va mettre bas ?
Quelques signes peuvent vous permettre de savoir quand votre chienne va mettre bas :
– Apparition de la montée de lait : 1 semaine environ avant la mise bas. Attention, ce n’est pas un indicateur très fiable.
– Fonte du bouchon muqueux (écoulement d’un liquide filant au niveau de la vulve) : jusqu’à 72h avant la mise bas
– Changement de comportement (stress, agitation, construction d’un nid…) : 6 à 12 heures avant la mise bas, mais parfois 24 heures chez les primipares.
– Diminution de la température rectale (d’au moins 1°C) : 8 à 24h avant la mise bas.
3- Les points que vous devez surveiller pendant la mise bas:
La mise bas s’accompagne de contractions abdominales:
– Si les contractions sont fortes, elles ne doivent pas durer plus de 30 minutes sans que le premier chiot naisse.
– Si les contractions sont modérées ou intermittentes, il ne faut pas dépasser 4 heures sans observer la naissance du premier chiot.
Dès la naissance, la mère doit lécher vigoureusement le chiot nouveau-né. En effet, les chiots sortent en général encore entourés de l’amnios, et celui-ci est normalement déchiré par la mère dans un délai de 30 secondes à 2 minutes. Si la chienne se désintéresse du chiot nouveau né, il ne faut pas hésiter à intervenir pour le libérer de l’amnios et le frictionner. Enfin, il faut chronométrer le temps entre deux naissances: celui-ci ne doit pas dépasser 2 heures.
En cas de doute, il faut contacter la clinique vétérinaire qui saura vous conseiller sur l’urgence ou non de consulter. Le vétérinaire pourra alors éventuellement vous proposer une échographie abdominale afin de surveiller la fréquence cardiaque des fœtus. Si nécessaire votre chienne sera hospitalisée afin de surveiller et d’aider médicalement la mise bas, et en cas d’urgence une césarienne pourra être pratiquée.
HSHA (HYPERSENSIBILITE / HYPERACTIVITE)
-> Votre chien est qualifié d’agité ou de nerveux. Il a du mal à se contrôler, bouge dans tous les sens et a du mal à s’arrêter de jouer.
-> Il ne maîtrise pas la morsure (c’est-à-dire qu’il vous fait mal quand il prend en gueule).
Il va falloir apprendre à vôtre chien à se maîtriser. Quelques conseils :
1- LE JEU DE BALLE MAITRISE
– Lancez la balle, demandez au chien de la rapporter.
– Si le chien va chercher la balle et ne veut pas la rapporter, arrêtez le jeu. Ignorez le chien.
– Dès que le chien donne la balle, relancez le jeu.
– Ne jamais exciter le chien avec des jeux de tiraillements (bâton, laisse dans la gueule).
2- MAITRISER SES EXCES
– Si le chien est très agité (saute autour des maîtres, court), ne pas crier, ne pas s’agiter ni lever les bras; ceci renforcerait son excitation. Donner un ordre bref.
– Si le chien fait des chevauchements : les refuser autoritairement et le renvoyer dans son panier.
– Ne jamais donner à manger à table.
SOCIOPATHIE
Le chien assimile la famille à la meute. Dans la meute, le « chef » a des privilèges qui sont l’accès à la nourriture, le contrôle de l’espace et le droit aux contacts, donc la sexualité.
1- LES REPAS
– Faire manger votre chien après vous.
– Laissez le chien seul pendant le repas.
– Ne donnez rien à votre chien à table pendant le repas.
2- LE TERRITOIRE
– Votre chien doit avoir un endroit à lui pour dormir et s’y rendre sous votre ordre.
– Ne laissez pas vôtre chien dormir aux endroits de passage (couloir, seuil de porte…). Ces endroits sont des endroits stratégiques de surveillance.
3- DROIT AUX CARESSES
– Votre chien ne doit pas obtenir des caresses chaque fois qu’il le demande. C’est vous qui devez obtenir les contacts lorsque vous les demandez.
– Ne laissez pas votre chien faire des chevauchements, repoussez le fermement et renvoyer-le dans son panier.
4- COMMUNICATION
– Votre ton doit être ferme sans crier.
– Vous devez vous exprimer avec des mots brefs comme « assis », « debout » …
AUTONOMOPATHIE
(ANXIETE DE SEPARATION – SURATTACHEMENT)
Votre chien est extrêmement attaché à vous. Dès que vous vous séparez de lui, il exprime sa détresse (aboiements, malpropreté, destructions…).
Quelques conseils pour aider votre chien à être bien dans n’importe quelle circonstance.
1- DETACHEMENT
Votre chien doit s’habituer à gérer seul ses émotions, pour cela :
– Prenez toujours l’initiative des contacts, ne répondez pas à ses sollicitations.
– Incitez-le à être dans une pièce différente de la vôtre.
– Habituez-le à être promené et caressé par une autre personne que vous.
2- DEPARTS ET RETOURS
Ils doivent être anodins, c’est-à-dire qu’ils ne doivent générer aucun stress chez le chien, pour cela :
– 30 minutes avant votre départ, vous ne devez plus vous occuper de lui.
– Partez naturellement, sans lui parler, restez indifférent.
– A votre retour, ignorez-le tant qu’il s’agite et caressez-le lorsqu’il est redevenu calme.
– Evitez les rituels de départ et de temps à autre, préparez-vous à partir et restez.
3- DEGATS
Si des dégâts sont commis en votre absence (destruction, malpropreté), ne le punissez pas et nettoyez et rangez en son absence.